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Auteur/autrice : Rédaction Centrale
Le bureau définitif du Conseil communal d’Ibanda s’oppose au projet de plaquage des numéros de police sur les maisons dans cette entité, le qualifiant de « prix exorbitant », sans qu’il n’ait été consulté ni de près ni de loin. Dans un document de mobilisation, il appelle la commune à retirer ses agents (cadres de base) déjà sur le terrain pour cette opération, en attendant un dialogue.
La nuit du 13 octobre 2024 a été marquée par une tragédie dans le groupement de Kamba-Makobola, situé dans la chefferie des Bavira, en territoire d’Uvira, au Sud-Kivu, en République Démocratique du Congo.
La Synergie des Syndicats des Enseignants du Sud-Kivu, regroupant le Syndicat des Écoles Catholiques, le Syndicat des Ecoles Officielles et le Syndicat des Ecoles Protestantes exprime sa vive préoccupation face à l’escalade des tensions entre les enseignants et les autorités provinciales. Dans un communiqué consulté par La Prunelle RDC, les syndicats dénoncent des méthodes d’intimidation et des menaces de mort visant leurs membres, au lieu de répondre aux revendications légitimes des enseignants.
Deux corps sans vie ont été retrouvés en une journée dans des avenues du Quartier Panzi, en Commune d’Ibanda, ville de Bukavu au Sud-Kivu. Les corps ont été retrouvés samedi 12 octobre 2024, selon les acteurs de la Société Civile.
Des jeunes du parti politique « Ensemble pour la République » et ceux des mouvements Katumbistes du Sud-Kivu condamnent avec la plus grande fermeté ce qu’ils qualifient de tentative d’intimidation dont est victime l’opposant Moïse Katumbi Chapwe en raison de ses œuvres caritatives et de sa prise de position concernant la modification de la constitution.
La Coordination Provinciale Nord-Kivu 1 de la Ligue des Jeunes de « Ensemble pour la République » et la Ligue des Jeunes du Leadership, Gouvernance et Développement (LGD ont, dans une déclaration publique) condamné ce qu’elles qualifient d’acharnement politique contre l’opposant Moïse Katumbi. Les jeunes leaders affirment que les récentes « tentatives d’instrumentalisation » de la justice visent à décrédibiliser les initiatives sociales de Katumbi, notamment la réhabilitation d’un hôpital et d’une piste d’aviation à Mulonde, dans le Haut-Katanga.
La LUCHA (Lutte pour le Changement) annonce des actions de grande envergure à partir du 2 novembre 2024 si le gouvernement congolais ne prend pas de mesures concrètes pour rétablir l’enseignement dans les écoles primaires publiques. En effet, les écoles publiques de la République Démocratique du Congo (RDC) sont à l’arrêt depuis le 2 septembre 2024, totalisant ainsi 40 jours sans cours en raison d’une grève générale des enseignants.
La République Démocratique du Congo (RDC) a récemment été élue membre du Conseil des Droits de l’Homme des Nations Unies pour la période 2025-2027. Cette élection représente une étape importante pour le pays, qui souhaite renforcer ses efforts en faveur des droits humains. Dans ce cadre, la RDC a formulé cinq engagements majeurs destinés à améliorer la situation des droits de l’homme tant sur son territoire qu’à l’international.
La Synergie des Syndicats des Enseignants de la République Démocratique du Congo (SYNECAT-CCT-COFEVID-SYPEPCO-SYADEC) a décidé de prolonger la grève qui paralyse les écoles depuis le 2 septembre 2024. Cette décision a été annoncée lors d’une Assemblée Générale tenue ce samedi, où les enseignants ont évalué leur situation et réaffirmé leurs revendications face à un gouvernement qu’ils jugent sourd à leurs appels.
Ce samedi 12 octobre, 13 corps des victimes du naufrage du MV Merdi ont été inhumés à Minova, territoire de Kalehe, dans la province du Sud-Kivu. La cérémonie, empreinte d’une grande émotion, s’est déroulée en présence des familles endeuillées et de plusieurs autorités politico-administratives.
