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Auteur/autrice : Rédaction Centrale
À l’occasion de la Journée internationale des droits de l’homme, célébrée chaque année le 10 décembre, Me Maurice Mirindi déplore que la République Démocratique du Congo demeure le théâtre de violations graves des droits fondamentaux, malgré son adhésion à la Déclaration universelle des droits de l’homme (DUDH) de 1948.
À l’occasion de la Journée internationale de la lutte contre la corruption, ce 10 décembre, le gouvernement congolais a réaffirmé sa détermination à combattre ce fléau à la racine : par l’éducation. Le Ministère de l’Éducation nationale et Nouvelle Citoyenneté (MINEDUNC) s’engage à former une jeunesse responsable et intègre, moteur d’un futur État de droit.
Il y a soixante-dix-sept ans jour pour jour, un jalon majeur de l’histoire de l’humanité était posé. Le 10 décembre 1948, au Palais de Chaillot à Paris, 58 États membres de l’Assemblée générale des Nations Unies adoptaient la Déclaration universelle des droits de l’homme (DUDH). Trois ans seulement après la Seconde Guerre mondiale, ce texte constituait la première tentative internationale de sanctuariser les droits fondamentaux inaliénables de chaque individu.
Kisangani tourne une page importante de sa mobilité urbaine. Ce mardi 9 décembre, le gouverneur ad intérim de la Tshopo, Guslain Mugenya, a lancé officiellement la campagne de vente des plaques d’immatriculation et cartes grises sécurisées destinées aux motocyclettes. Une mesure qui marque la fin d’une longue période d’anonymat sur les routes de la ville.
Une opération de traque baptisée « Ndobo », menée par la Police Nationale Congolaise dans la nuit de mardi à mercredi, a permis l’arrestation d’au moins 50 présumés bandits à mains armées dans plusieurs quartiers de Lubumbashi.
Fungurume s’est réveillé dans la stupeur et le chagrin. Quatre écoliers issus d’une même famille ont perdu la vie, ce mardi, dans un tragique accident de circulation qui a endeuillé toute la communauté. Selon les premiers éléments recueillis, les enfants se rendaient à l’école à bord d’un petit véhicule lorsqu’un poids lourd, dont le chauffeur aurait perdu le contrôle, a violemment percuté leur voiture. L’impact, d’une rare violence, ne leur a laissé aucune chance : les quatre enfants sont décédés sur le coup.
Quatre civils, dont un bébé de trois mois, ont été tués mardi 9 décembre 2025 lors d’une nouvelle attaque attribuée aux rebelles ADF-MTM dans le village d’Idohu, en groupement Bandavilemba, chefferie de Walese Vonkutu, dans le territoire d’Irumu (Ituri).
Après plusieurs jours de paralysie dus aux violents affrontements entre les FARDC-Wazalendo et les rebelles de l’AFC-M23, la vie scolaire tente de reprendre son souffle à Kamanyola, dans le territoire de Walungu, au Sud-Kivu. Une reprise encore fragile, marquée à la fois par la peur persistante et un timide regain d’espoir.
Le monde a célébré, ce 9 décembre, la Journée internationale de lutte contre la corruption. Une journée symbolique, mais surtout un rappel urgent face à un fléau qui fragilise les institutions, bloque le développement et mine la confiance sociale. À Bukavu, dans la province du Sud-Kivu, cette date prend une résonance particulière. Ici, plusieurs jeunes se lèvent pour dénoncer ce qu’ils qualifient de corruption « normalisée », devenue presque banale dans le quotidien.
La journée du mardi 9 décembre 2025 a été particulièrement sombre pour la presse dans la ville d’Uvira. Deux journalistes ont été victimes d’actes d’extorsion et d’intimidation alors qu’ils exerçaient leurs fonctions, ravivant les inquiétudes sur la sécurité des professionnels des médias dans cette partie du Sud-Kivu, déjà fragilisée par un contexte sécuritaire volatile.
