Plus des trois personnes ont été tuées par arme à feu et par arme blanche en deux semaines dans plusieurs villages du territoire de Nyiragongo au Nord-Kivu. Le cas le plus récent est celui d’un jeune tué par balle la nuit de ce mercredi 1 au jeudi 2 novembre 2023 au village Rukoko.
Selon Charles Chimanuka, Président de la Jeunesse du village Rukoko, les bandits en arme se sont introduits dans une alimentation pour piller. C’est en tirant des balles après leur forfait que le jeune homme a été atteint. Il revenait de son travail. Il est mort sur place.
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Un autre groupe a tiré des balles dans le ventre d’une femme. Blessée, elle est internée dans une structure médicale.
C’est un environnement d’insécurité généralisée que dénoncent plusieurs acteurs sociaux de Nyiragongo. Des assassinats crapuleux qui inquiètent des habitants du milieu.
Au cours de deux semaines, plus de quatre personnes ont été tuées par arme blanche et à feu alors que plus de 30 maisons ont été cambriolées.
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Ce cas rappelle celui de la nuit du lundi au mardi 31 octobre où un jeune garçon du groupement Munigi a été aussi tué par des personnes en arme qui s’étaient introduit à son domicile.
Comme dans nombreux cas d’assassinats, les responsables sont non identifiés et courent toujours alors que les autorités congolaises annoncent souvent des enquêtes qui aboutissent rarement.
La Société Civile, les structures des jeunes ainsi que des leaders d’opinion appellent les autorités à trouver des solutions à l’insécurité devenue endémique dans l’entité.
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C’est le cas de madame Sophie Valinande, acteur politique qui s’inquiète surtout du sort des enfants et des femmes dans toutes ces régions en insécurité au Nord-Kivu.
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