Intervenons-nous

Le paludisme, une maladie infectieuse très mortelle tue plus de monde en Afrique subsaharienne. Cependant, il sévit  dans plus de 80 pays dans le monde

En 2018, 228 millions de cas de paludisme et 405 000 décès ont été comptabilisés dans le monde par l’organisation mondiale de la santé. 67% de décès concernaient des enfants de moins de 5 ans 94% l’Afrique subsaharienne.

Chaque 25 avril de l’année, le monde célèbre la journée mondiale de lutte contre le paludisme, cette maladie très mortelle qui semble être offusquée par l’actuel coronavirus.

A cette occasion, l’OMS a appelé au maintien des services de prévention et de traitement de paludisme pendant la pandémir afin de sauver des vies.

Etant donné que le palu tue plus des gens en Afrique subsaharienne et nombre de covid-19 en n’y a représenté qu’une faible proportion du tôt mondial, même si des cas augmentaient chaque semaine, il est impérieux de sauver des vies contre la malaria.

L’OMS a alors exhorté les pays à agir rapidement et à distribuer des outils de prévention et de traitement du paludisme à ce stade de l’épidémie de COVID-19 en Afrique subsaharienne, et à faire tout leur possible pour maintenir en toute sécurité ces services essentiels de lutte antipaludique.

Cela pour préserver des vies envers  lesquelles, le coronavirus semble encore être clement.

Il faut noter qu’à se jour, aucun vaccin contre la malaria n’est jusque là disponible.

La lutte antivectorielle est, selon les experts, le principal moyen de prévenir et de réduire la transmission du paludime, dormir sous une moustiquaire imprégnée d’insecticide peut aussi réduire le contact entre les moustiques et les humains.

la  pulvérisation résiduelle intérieure (IRS) d’insecticides est un autre moyen puissant de réduire rapidement la transmission du paludisme

Jean-Luc M.

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