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    Le ministre des droits humains, André Lite Asebea, dit condamner avec fermeté l’arrestation  «arbitraire» dont ont été victimes 2 acteurs de la Société Civile à Bukavu; dont Patrice Lwabaguma et Gedeon Fikiri, et Prisca Bukaraba,  directrice de la Radio Iriba Fm en province du Sud-Kivu.

    André Lite l’a fait savoir dans un communiqué rendu public le 16 octobre 2020, et dont copie nous est parvenue.

    Selon le ministre congolais des Droits humains, des faisceaux d’indice recueillis sur place à Bukavu; font état que ces actes commis par des agents de l’Agence Nationale de Renseignement (ANR)/Bukavu, violent les droits fondamentaux. Il cite notamment,  le droit à la liberté individuelle, le droit à un traitement humain et digne; et tant d’autres droits procéduraux reconnus à toute personne détenue.

    «Le ministre tient à souligner que des tels abus de pouvoir  dans le chef de ces préposés de l’Etat  sont répréhensibles aux termes de la loi. Par-delà de cette dénonciation,  il veillera dans le strict respect de la séparation des pouvoirs; que les auteurs présumés de ces forfaitures soient poursuivis et punis par les instances compétentes.» écrit la cellule de communication du ministère des droits humains.

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    Le ministère dit également rassurer à tous les congolais,  que la RDC reste attachée au respect des droits fondamentaux; contenus dans les instruments juridiques internationaux, auxquels elle a souscrit.

    Bertin Bulonza

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