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    Cinq dollars pour l’identification des locataires et bailleurs, c’est l’une des sommes que serait entrain d’exiger le chef du quartier Mulambula, Carlos Lubago.

    Ceci ressort d’une lettre de dénonciation de la Société Civile, Sous noyau du quartier Mulambula, datant du dont Laprunellerdc.info s’est procuré une copie.

    Dans ce document adressé à leur chef de quartier, cette structure dénonce plusieurs griefs, dont est coupable, selon elle, Monsieur Carlos Lubago et son équipe.

    C’est notamment le recouvrement et le détournement de l’argent des associations de développement, des églises t autres organisations, avec comme motif de ravitaillement du container devant héberger le Sous-Commissariat de la police.

    « La population de Mulambula par le canal de la Société Civile vous reproche des constructions anarchique autorisées, pour spolier les servitudes publiques, avec perception d’une somme fixée forfaitairement, et dénommée Pembe ya ba Chef. » Peut-t-on lire dans cette correspondance.

    La Société Civile l’accuse également de détournement d’un don de matériels des travaux communautaires dans ce quartier. A ceci, s’ajoute les arrestations arbitraires, pour motif d’identification, dont serait coupable ce chef de quartier.

    Pour cette structure citoyenne, Carlos Lubago utilise la police commis à la sécurité de ce quartier, avec laquelle il partage le bureau, pour qu’ils arrêtent de séquestrer les citoyens pour des motifs non connus.

    Elle demande ainsi à l’Eta congolais, d’organiser les élections locales, afin de permettre à la population de de ses choisir des autorités de leur choix.

    Thoamas Uzima

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