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Auteur/autrice : Rédaction Centrale
La Coordination provinciale de la Société Civile Forces Vives du Nord-Kivu exprime son inquiétude face à la persistance des grèves dans le secteur éducatif congolais. Dans un communiqué de presse publié ce mardi 15 octobre, elle appelle le gouvernement à prendre des mesures urgentes pour rétablir la situation dans les écoles publiques.
Les cimetières Gabiro, communément appelés « Joli Bois » et CEP Congo, situés dans le territoire de Nyiragongo et jadis menacés de spoliation, ont été officiellement remis à la population par le Gouverneur de la province du Nord-Kivu, ce mardi 15 octobre 2024.
Le débat sur la révision ou le remplacement de la Constitution de la République Démocratique du Congo (RDC) est marqué par des tensions et des passions, notamment du côté des acteurs politiques. Le politologue Elie Habibu, interrogé par La Prunelle RDC à s’exprimer sur ce sujet, a souligné que « ce débat est mené avec beaucoup de passion, surtout du côté des hommes politiques, mais il manque effectivement des scientifiques pour éclairer le cheminement de la révision constitutionnelle de manière comparative et peut-être objective. »
Ah, le doux son de la rhétorique politique en République démocratique du Congo ! Chaque fois que nous approchons d’un second mandat présidentiel, voilà que le débat sur la révision de la Constitution revient tel un vieux démon, prêt à semer le trouble. Si les acteurs politiques consacraient autant d’énergie à résoudre les véritables problèmes du pays qu’à discuter de la Constitution, nous aurions déjà réglé la crise de l’éducation, l’instabilité sécuritaire et même le prix du pain !
Alors que la République démocratique du Congo est au cœur d’un débat houleux sur la révision de la Constitution, les acteurs politiques du Sud-Kivu affichent des positions très claires. Théodore Mseme, cadre de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS), défend ardemment l’idée d’une révision, arguant que la Constitution actuelle, étant souple, doit pouvoir évoluer.
Le Collectif du Mémorial en Ligne s’associe à la commémoration tragique du massacre des femmes enterrées vivantes dans le territoire de Mwenga, une étape cruciale dans la quête de justice et de dignité pour les victimes et leurs familles. Ce drame, qui a laissé des cicatrices indélébiles dans les communautés de Mwenga, Kasika, Makobola, Kaziba et d’autres zones touchées par la violence, souligne l’importance d’un processus d’exhumation des fosses communes où reposent les corps des victimes.
La Société Civile du Sud-Kivu annonce le report du dialogue citoyen initialement prévu pour le 15 octobre 2024, qui devait réunir les acteurs politiques et représentants de la Société civile. Cette rencontre, essentielle pour la stabilité des institutions provinciales et le développement de la région, se tiendra finalement le 21 décembre 2024.
Deux personnes ont perdu la vie lors d’une attaque menée par des hommes armés dans la nuit du 14 au 15 octobre à Mutshibwe, un des treize villages du groupement de Buzi, situé au nord de Minova dans le territoire de Kalehe au Sud-Kivu.
Une délégation de la Banque Mondiale est en visite à Goma, chef-lieu de la province du Nord-Kivu, depuis le dimanche 13 octobre 2024. L’objectif, selon la Directrice de cette institution financière, est de rencontrer les autorités de ces deux provinces afin d’identifier les véritables problèmes auxquels elles font face, pour ensuite les financer.
Les populations de l’Est de la République démocratique du Congo, déjà éprouvées par des décennies de conflit, se trouvent aujourd’hui confrontées à des violences inouïes de la part de groupes armés, notamment les miliciens maï-maï, les Raia Mutomboki (RM) sous le nouveau label de « Wazalendo ». Les actes d’exactions commis par ces milices sont alarmants : tortures, meurtres, rançonnements et intimidations se multiplient, plongeant les citoyens dans la peur et l’impunité.
