Le représentant de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) du Burundi, le Docteur Walter Kazadi et ses 3 collègues sont déclarés des « persona non gratta » par les autorités burundaises.
Il leur est également demandé de quitter le territoire Burundais au plus tard le 15 mai prochain.
Dans une note verbale adressée aux bureaux de représentation de l’OMS à Bujumbura, sans motif, le ministère des Affaires étrangères dit porter à la connaissance de cette agence onusienne que son personnel doit quitter territoire.
«Le ministère des affaires étrangères de la République du Burundi présente ses compliments à l’OMS et a l’honneur de porter à sa connaissance que les personnes dont les noms suivent sont déclarées, « persona non grata » et par conséquent, elles doivent quitter le territoire du Burundi avant le 15 mai. Il s’agit du Dr Kazadi Mulombo Walter, représentant l’OMS au Burundi, Pr Tarzy Daniel, expert, Dr Ruhana Mirindi, expert, et Jean-Pierre Mulunda Nkata»
Toutefois, le Burundi a dit profiter de l’occasion pour renouveler au bureau au bureau du représentant de l’OMS-Afrique sa haute considération.
Plusieurs observateurs estiment que cela serait lié à la gestion trop controversée du coronavirus au pays de Nkurunzinza.
La Radio France Internationale a récemment publié la réalité du covid-19 au Burundi. Il a été révélé dedans, que le gouvernement burundais cachait la vérité sur la pandémie.
Il a été dit que c’est le gouvernement, lui-même qui a demandé qu’on arrête le dépistages des plusieurs testerplusieurs personnes.
Les experts eux craignent une hécatombe que veut créer les autorités qui ne voudraient pas perturber la période électorale. Mais c’est bel et bien des contaminations à grande échelle.
Jean-Luc M.