Auteur/autrice : Rédaction Centrale
Une personne a été tuée et trois autres grièvement blessées dans le territoire de Nyiragongo, au Nord-Kivu, lors des affrontements qui ont opposé les Wazalendo aux rebelles du M23, dans la matinée du jeudi 7 novembre 2024. Lire aussi : Rutshuru : violents affrontements entre le M23-AFC et les Wazalendo à Bambo Selon M. Thierry Gasisiro, Secrétaire technique de la Société civile du territoire de Nyiragongo, qui nous a livré cette information, les rebelles du M23 ont attaqué les positions des Wazalendo et des victimes ont été enregistrées à la suite de cette attaque. Bienfait Tumsifu, depuis Goma
Trois corps sans vie de civils ont été découverts le vendredi 8 novembre 2024 dans les champs périphériques de Kiseguro, une localité située dans le groupement de Binza, en territoire de Rutshuru, dans la province du Nord-Kivu.
Une femme d’une trentaine d’années a été tuée et une autre blessée par balles par des hommes armés non identifiés dans la nuit du vendredi au samedi 9 novembre 2024, à Nyamilima, dans le groupement de Binza, en territoire de Rutshuru, dans la province du Nord-Kivu.
Ce vendredi 8 novembre 2024, 30 présumés bandits à main armée ont été présentés au gouverneur de la province du Maniema, Mussa Kabwanmkubi Moïse, lors d’une parade publique organisée à la tribune centrale de Kindu. Ces individus sont principalement accusés de vols à main armée et d’extorsion des biens de citoyens paisibles.
Le chef Ad intérim de la Sous-Division Educationnelle Kalehe 1 interdit formellement aux responsables des écoles secondaires de sa juridiction d’exiger des parents d’élèves le paiement de frais de souche supérieurs à trente-six mille francs congolais. Il rappelle que toute demande de paiement excédant ce montant, sans justification, est considérée comme illégale et répréhensible par les autorités compétentes.
La situation sécuritaire dans les territoires d’Uvira, Fizi, Baraka et Mwenga, dans la province du Sud-Kivu, demeure préoccupante malgré les efforts locaux pour rétablir la paix. La violence continue de sévir dans ces zones, alimentée par les groupes armés, les bandes criminelles et une gestion sécuritaire défaillante.
Les rescapés du naufrage du bateau MV Merdi, survenu le 3 octobre dernier à Kituku, sur le lac Kivu, lancent un cri d’alarme et sollicitent une aide humanitaire urgente de la part du gouvernement.
Le 8 novembre de chaque année, la Journée Mondiale de l’Urbanisme est célébrée dans le monde entier, un événement soulignant l’importance de la planification urbaine pour un développement durable. Cette année, le Réseau Mondial des Urbanistes (GPN) rappelle une vérité fondamentale : « Il ne peut y avoir de développement durable sans urbanisation durable, et il ne peut y avoir d’urbanisation durable sans une planification efficace. »
Le jeudi 7 novembre 2024, deux personnes ont été enlevées par des hommes armés non identifiés à Kitemesho, dans la plaine de la Ruzizi, province du Sud-Kivu. L’attaque s’est produite en plein après-midi, et les bandits ont également emporté deux vaches avant de disparaître dans la nature.
Le Bureau de Coordination de la Société Civile Forces Vives de Buzi, dans le territoire de Kalehe, exige le retrait urgent du bateau « Merveille de Dieu » (MERDI), qui reste immergé dans les eaux du lac Kivu depuis le tragique naufrage survenu le 3 octobre 2024. C’est son président, Sadiki Juges, qui prend la parole pour interpeller le gouvernement national, soulignant que, selon la coutume *Havu*, les familles des disparus n’ont pas perdu l’espoir de retrouver leurs proches.