Intervenons-nous

Au cours de l’année écoulée, 2020, le Ministère de l’Environnement et Développement Durable se félicite de ses réalisations; notamment dans la mobilisation des recettes, la restructuration du domaine de l’exploitation forestière, l’actualisation du cadre légal dans le secteur de l’environnement, ou encore sa contribution dans la lutte contre le Covid-19.

Laprunellerdc.info vous propose l’Essentiel des réalisations de ce portefeuille que dirige Claude  Nyamugaboo, au cours de cette année au cours de laquelle la planète a été frappée de plein fouet par l’une des plus meurtrières catastrophes sanitaires de l’histoire, la pandémie du Coronavirus.

RÉALISATIONS MEDD 2020
Acte I : Promouvoir une diplomatie environnementale gagnant-gagnant

Déjà en septembre 2019 s’exprimant du haut de la tribune de l’ONU à l’occasion de la 74ème Assemblée Générale de l’Organisation Mondiale, Félix-Antoine TSHISEKEDI, le Président de la République Congolais avait annoncé au Monde entier la place de choix qu’il accordait  au secteur de l’environnement dans son programme quinquennal.

Il avait alors chargé son Ministre de l’Environnement et Développement Durable Maître Claude NYAMUGABO BAZIBUHE de mettre en place un plan réaliste afin que la RDC en sa qualité de protectrice de la planète fasse non seulement entendre sa voix dans le concert des nations mais surtout puisse obtenir une juste rétribution de la part de la Communauté Internationale pour le rôle majeur qu’il joue en vue de la survie de l’humanité.

Une tâche plutôt facile pour cet habitué du monde diplomatique qui aussitôt déroule le papyrus de son carnet d’adresses qu’il met à profit.

A Libreville, à Durban, à Londres, Au Caire, à New-York tout comme à Madrid lors de la dernière COP25, la RDC est qualitativement représentée à tous les grands rendez-vous continentaux et mondiaux et où elle aborde désormais diverses thématiques avec diplomatie et sérieux. C’est le grand retour du géant sur scène. Les diplomates étrangers et les grandes organisations partenaires se bousculent au portillon de Kinshasa pour renouer le contact.

Dans ses bureaux de la Commune de la Gombe, Maître Claude NYAMUGABO BAZIBUHE multiplie les réunions, les audiences voire conclure des nombreux partenariats bilatéraux et multilatéraux avec ces différents interlocuteurs qui hier encore avaient déjà plié bagage.

Ces derniers se disent rassurés et réalisent désormais des promesses et d’engagement pour la reprise de la Coopération. C’est le cas des Etats-Unis d’Amérique par exemple, qui avait déjà fermé ses portes et mis la clé sous le paillasson de son appui au secteur de l’Environnement, par le truchement de son Ambassadeur, le très médiatique Mike Hammer, ils annoncent leur apport avec la bagatelle somme de 20 millions des dollars pour la seule année 2020, en soutien aux Communautés locales vivant aux abords des aires protégées notamment mais dont la criante pauvreté laisse perplexe.

Une Coopération constructive qui sera d’ailleurs initiée plus tard par d’autres pays comme la France dans le secteur de la gouvernance forestière, la Norvège, l’Italie, la Grande Bretagne dans l’Initiative Présidentielle jardins scolaires, 1 milliard d’arbres à l’horizon 2023 sans omettre le Gabon avec qui un mémorandum d’entente aura été conclu pour des échanges d’expériences dans la gestion forestière. Au sein des organisations sous-régionale telles la COMIFAC, la CAFI et autres, la RDC est de nouveau écoutée et exerce désormais des grandes responsabilités au prorata de sa position en tant que détenteur de plus de 60% du couvert forestier du Bassin du Congo de Kinshasa, c’est la satisfaction bien que teintée encore d’un goût d’inachevé. Bref, la grande machine diplomatique a démarré et fonctionne à plein régime.   

Acte II : Devoir de redevabilité, concourir substantiellement la mobilisation des recettes pour lutter contre la pauvreté.

117 milliards des francs congolais, c’est la cagnotte qu’attendait le trésor public du secteur de l’Environnement. Un pari qu’on pourrait qualifier d’audacieux, dans la mesure où la minoration des redevances et taxes du secteur était devenue monnaie courante par certains agents véreux du Ministère. Très vite, Maître Claude NYAMUGABO BAZIBUHE décide de saisir le terreau par les cornes. Il n’y va pas par le dos de la cuillère.

 Tous les responsables du Ministère, de la base jusqu’au sommet de la pyramide administrative sont appelés à signer un acte d’engagement dès le début de l’année 2020. Le Ministre de tutelle promet également une évaluation régulière, dans laquelle devrait dépendre la cotation des uns et des autres et le cas échéant d’éventuelles sanctions en cas de manquement.

Une stratégie qui s’est révélée par la suite efficace car dès la fin du premier semestre 2020, le Ministère de l’Environnement et Développement Durable avait déjà fait exploser le compteur en atteignant plus de 60% de ses assignations budgétaires. Ce qui de manière linéaire augurait une projection prometteuse allant au-delà des 100% à la fin de l’exercice, précisaient alors les techniciens en la matière.

Et pour couronner ces efforts, les opérateurs économiques du secteur s’étaient vu rétablis dans leurs droits en recevant leurs permis d’exploitation, une manière de les encourager à toujours accompagner le Gouvernement en payant correctement leurs taxes et redevances. Des résultats obtenus pourtant dans une conjoncture économique assez complexe avec les conséquences de la pandémie de la COVID-19.              

Acte III : Mettre fin au désordre ambiant dans le domaine de l’exploitation forestière.
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Le Ministre de l’Environnement Claude Nyamugabo plante des arbres avec les enfants du Camp Tshatshi dans le cadre du projet des Jardins scolaires

Il était temps de mettre un terme à cette grande criminalité à ciel ouvert qu’était l’exploitation illicite du bois scié et des grumes le long des bassins versants et îlots situés dans les ports dans la partie Est de la capitale congolaise. Un véritable FAR WEST en plein cœur de Kinshasa que tenait à tout prix à démanteler le Ministre. Constat dégagé sur le terrain, Maître Claude NYAMUGABU BAZIBUHE est à première vue sidéré de la santé pétillante de l’illégalité de cette contrebande qui s’opère avec la complicité de certains agents publics. Du coup, la mesure est sans appel : Interdiction absolue de la vente des grumes dans les îlots et fermeture de toutes les scieries se trouvant à moins de 50m des rives du fleuve Congo.

Elle vise notamment à préserver les écosystèmes aquatiques mais aussi et surtout à contrôler le flux de ce commerce sensé apporter un plus dans la cagnotte des recettes dues à l’État.
Un peu plus tard, le Ministre NYAMUGABO va même obtenir l’adoption par le gouvernement réuni en Conseil des Ministres de la mesure rendant obligatoire la transformation locale du bois congolais avant toute exportation. L’objectif à court terme étant de réguler l’exploitation artisanale du bois qui, évoluant dans l’informel fait perdre d’innombrables ressources au pays. Ici également, un mécanisme de suivi permanent de ces différentes mesures a été institué afin de s’assurer de la juste observance de ces dernières.

Ce qui devrait permettre à la RDC de créer une véritable industrie du bois, générant pour ce faire des emplois directs et indirects pour les congolais, une valeur ajoutée pour le bois congolais, laquelle mesure devant être appliquée dès juillet 2021.

Acte IV : Innovations et actualisation du cadre légal pour améliorer la gouvernance du secteur

Si le Ministre Claude NYAMUGABO a fait de la systématisation des études d’impact environnemental et social pour tout projet à exécuter en RDC, la mise en place du Fonds d’Intervention pour l’Environnement (FIPE) au terme du Décret du 31 octobre 2020 en vue du financement des projets et recherches relatives à la protection de l’Environnement, sont autant d’innovation introduites au pays au cours de cette année 2020 par le Ministère de l’Environnement.

En plus, bien entendu de la finalisation en cours des travaux de l’élaboration du document de politique forestière nationale devant jeter les jalons de la révision du code forestier.

Il convient de noter que la RDC, indépendante et souveraine depuis 1960, considéré comme deuxième poumon du monde ne dispose à ce jour d’aucune politique forestière. Les travaux sont lancés en début d’année 2020.

Des innovations rendues possibles en rendant participatives toutes les initiatives prises pour l’amélioration du secteur, notamment avec un cadre permanent de la société civile et différents partenaires, la RDC se trouvant faut-il le rappeler au cœur des grands défis environnementaux au niveau planétaire.

Acte V : Participer aux efforts de la lutte contre la COVID-19

L’année 2020, frappée par la pandémie de la covid-19 aura été particulièrement difficile. A l’appel du Président de la République Félix-Antoine TSHISEKEDI pour la conjugaison d’efforts afin de faire face à ce fléau mondial, le Ministre de l’Environnement a répondu aux abonnés les plus présents.

C’est avec stupeur et administration que Claude NYAMUGABO le Ministre a révélé aux Congolais l’existence d’un impressionnant arsenal de désinfection, dératisation et d’assainissement acquis par la République depuis quelques années ainsi qu’un personnel qualifié et formé quant à ce. Très vite, il va décider de revivifier la brigade d’assainissement de la DAS et la mettre à contribution pour faire face à la pandémie. Vite, les équipes et leur matériel entrent en action.

Des édifices publics tel le Palais du Peuple, siège du Parlement, l’immeuble dit intelligent, l’Hôtel du Gouvernement, les locaux de la Cour Constitutionnelle et d’autres voire les centres médicaux, les marchés et les représentations diplomatiques se voient systématiquement aseptisés et assainis de fond en comble. Des initiatives qui d’ailleurs s’étendent dans d’autres grandes villes du pays où des particuliers disposant de la technicité nécessaire sont associées aux efforts. Lesquels ont prouvé par ailleurs leur efficacité, le pays étant un de ceux qui ont d’ailleurs défié toutes les prédictions apocalyptiques quant aux conséquences néfastes de la pandémie au vu de son système de santé.

Acte VI : Lutter contre la déforestation et ses conséquences néfastes sur le changement Climatique
environnement
Nyamugabo à la SOGAZ

Bien que la République Démocratique du Congo ait perdu une vaste superficie de sa forêt une perte due notamment au déboisement volontaire, conséquence de l’usage du bois de chauffe ou du bois énergie et parfois de l’Agriculture itinérante sur brûlis, le gouvernement Congolais par le biais du Ministère de l’Environnement et Développement Durable s’est activé également au cours de l’an 2020 à encourager l’usage des énergies propres pour stopper la percée de la pression humaine sur les forêts, avec notamment des subventions à la société SOGAZ, filiale de la Société SOZIR pour introduire l’usage du gaz domestique dans la Ville de Kinshasa et dans quelques 4 autres provinces pilotes.

Une initiative qui, à la première évaluation semestrielle aura permis la vente de plus de 16.000 Kits à des prix accessibles à toutes les bourses et la préservation de quelques 13 hectares des forêts. Une expérience réussie qui encourage le Gouvernement dès 2021 à l’étendre à d’autres provinces du pays.

2020 aura aussi vécu la mise en œuvre de l’initiative Présidentielle « Jardins scolaires, pour 1 milliard d’arbres à l’horizon 2023 en vue de la reconstitution du couvert forestier du pays et la réaffirmation de son rôle de leader mondial environnemental. Et c’est le Président Félix-Antoine TSHISEKEDI lui-même qui en avait donné le ton en procédant à la plantation d’un arbre sur le Mont-Ngaliema, bien que des écoliers avaient déjà débuté la phase pilote sur le flanc Ouest érodé du Camp Colonel TSHATSHI à Kinshasa plantant ainsi plus de 150.000 plantules.

Sans compter des pépinières disséminées à travers toutes les provinces du pays. Le Ministre Claude NYAMUGABO ayant entamé un plaidoyer sérieux auprès des leaders sociaux, les autorités religieuses (catholiques, protestants, musulmans, Orthodoxes, Kimbanguistes, Églises de réveil et autres) pour l’implémentation du projet.

Un plaidoyer de la part de ces derniers au regard de la pertinence du projet pour la survie de l’humanité.

Acte VII : Inspection et suivi du respect des normes environnementales par toutes les industries en RDC

Le Ministre Claude NYAMUGABO fort déterminé à mener à bon port le travail lui assigné par l’Etat aura été aussi un va-t’en guerre contre la pollution. Troquant parfois la fraîcheur de son fringant bureau contre la chaleur de plomb de Kinshasa ou encore l’atmosphère poussiéreuse des mines de l’Ex. Grand Katanga pour s’assurer du respect strict par ces mastodontes, vérifier le respect des normes réglementaires en vigueur.

Une tâche sensée apporte des réponses idoines aux différentes plaintes de la population et dont les retombées déjà enregistrés depuis le Haut-Katanga à Kinshasa en passant par le Lualaba et les échos a forts décibels partout au pays et les récalcitrants se trouvant désormais dans l’œil du cyclone, des sanctions sévères ayant été brandis par le Ministère. La loi relative à l’eau va connaitre un répondant notable grâce à la mission du Ministre, effectuée en Égypte où avec son collègue en charge de l’eau, la dernière signature a été posée pour l’inauguration du centre moderne à Kinshasa et la mise en application d’un tas de projets pour la population.

2020, une année des grands défis, une année qui aura vu le dur labeur des cadres et agents du Ministère de l’Environnement être reconnu enfin 45 ans après sa création avec le contreseing avec le vice-premier Ministre, Ministre du Budget du document devant leur permettre de bénéficier de la prime spécifique dès l’exercice 2021.

2020, enfin, cette année au cours de laquelle on reparle de l’environnement en RDC, une RDC que Claude NYAMUGABO BAZIBUHE, ce Ministre qui a su, avec une équipe triée sur le volet, imprimer sa marque de fabrication, entend apporter sa contribution pour replacer le wagon Congo à la locomotive du progrès.

Et 45 ans depuis l’existence de ce Ministère, enfin il dispose d’un bâtiment à lui, répondant au standard international et traduisant la grandeur de la République Démocratique du Congo.

Ministère de l’Environnement et Développement Durable   

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