Intervenons-nous

La campagne « le Congo n’est pas à vendre », regroupant en son sein, quelques organisations de la société civile dont AETA, ODEP, et autres veut voir des dignitaires de l’ancien régime, qui ont été cités dans plusieurs rapports, pour détournement, corruption, être écouté et au besoin jugé par la justice.

Cela permettra de constater l’effectivité de l’indépendance de la justice. Sinon, il sera considéré comme une justice de deux poids, deux mesures.

Ainsi donc, la plate forme qui lutte aussi  contre la corruption veut que les autorités publiques informent l’opinion tant nationale qu’internationale sur « la destination de 128 millions, 15 millions de retrocomission. L’ouverture des enquêtes sur des projets; dossier lié à l’entreprise EGAL, FBN Bank, Bukanga Lonzo etc »

Au sujet des poursuites à l’encontre de Vital Kamerhe, « le Congo n’est pas à vendre »  appelle le pouvoir judiciaire à poursuivre de manière rigoureuse et impartiale afin d’établir la responsabilité de tous les acteurs impliqués dans le détournement des fonds alloués au programme de 100 jours.

Il dit exiger que des enquêtes en cours aboutissent à des conclusions publiques afin de rendre effective la lutte contre l’impunité.

Enfin, cette coalition espère que l’Agence de lutte contre la corruption qui vient d’être mise en place sera indépendante et possedera des moyens suffisants pour sa politique.

Jean-Luc M.

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