Intervenons-nous

    Le coordonnateur du Front commun pour le Congo (FCC), Néhémie Mwilanya a déclaré, ce jeudi 23 juillet 2020, à l’issue de la marche de leur regroupement organisée à Kinsahsa, que les violences à l’Est de la RDC se sont accrues depuis le départ de Joseph Kabila leur autorité morale, ancien président.

    Selon lui, il n’est pas normal qu’en si peu de temps 7 groupes armés étrangers envahissent le Congo et que la situation à l’Est devienne de plus en plus volatile sans que les autorités en place ne prennent des dispositions utiles.

    « La vie devient de plus en plus chère, nous lançons la sonnette d’alarme mais nos partenaires de la coalition ne comprennent pas. Vous avez 7 armées étrangères qui sont sur le sol congolais, du jamais vu. L’insécurité bat son plein à l’Est du pays et la situation s’est aggravée depuis que Joseph a quitté le pouvoir, » a-t-il dit.

    Lire aussi: Kinshasa: la marche du FCC a commencé. Nehemie, Shadary, Okitundu, Cishambo, Kikaya bin Karubi, Mende… tous présents

    Par ailleurs, le coordonnateur du font commun pour le Congo (FCC)a brossé sur la situation politique du pays et a déplorer que le fait l’autre camps de la coalition ne tuent pas compte d’eux et veut faire du parlement, Assemblée nationale et sénat des organes que d’enregistrement. Pourtant la coalition passe par la séparation du pouvoir.

    Le Front commun pour le Congo a organisé une marche ce jeudi 23 juillet 2020 à Kinshasa dans le but de soutenir les institutions du pays et refuser l’installation de la dictature au pays. Dans le rang des manifestants, on pouvait trouver Néhémie Mwilanya, Ramazani Shadary, Kalev Mutond, Lambert Mende, Ngoy Kasanji,…

    Jean-Luc M.

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