Génocost : à Uvira, la Nouvelle Société Civile Congolaise se mobilise pour la recherche de la vérité et la justice

La Nouvelle Société Civile Congolaise (NSCC) axe Uvira demande que la réparation et la justice soient faites à tous les peuples congolais victimes des atrocités ayant conduit à la disparition de plusieurs millions des citoyens depuis trois décennies.

 Demande exprimée à l’occasion de la journée de commémoration du génocide des congolais pour des fins économiques (Genocost) ce 2 août 2024.

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Le Coordonnateur de la Nouvelle Société Civile Congolaise territoire d’Uvira rend hommage à tous ceux qui ont perdu les leurs, des victimes des violences sexuelles liées aux conflits utilisés comme arme de guerre dans la partie Est de la RDC. Des conflits ayant conduit à des crimes de guerre, des crimes contre l’humanité et même des actes de génocide.

Byamungu Shamamba, le Coordonnateur de la Nouvelle Société Civile Congolaise en territoire d’Uvira déplore tous les massacres enregistrés depuis 1998 à Uvira. C’est à l’instar de Katogota le 14 mai 2000, ou au moins 375 personnes ont été tuées ainsi que du massacre de Mutarule le 14 juin 2014.

Ces crimes, ajoute-t-il, n’ont jamais été punis et la justice jamais rendue aux victimes.

Comme beaucoup d’autres acteurs, Byamungu Shamamba demande la mise en œuvre d’une véritable justice transitionnelle en vue de juger les auteurs présumés de ces crimes.

Ishara Yambisi Bin Kashenya, depuis Kamanyola