Des professionnels des médias de la ville de Beni, au Nord-Kivu, ont été formés ce lundi 29 novembre 2021, sur les questions liées à l’apatridie, ses risques et comment prévenir ou diminuer ce fléau.
La dite formation a été facilitée par le Haut-commissariat pour les réfugiés (UNHCR), en partenariat avec le Comité technique interinstitutionnel de lutte contre l’apatridie en RDC (CTLA).
L’apatridie, qui est le fait pour un individu de ne pas être reconnu comme citoyen d’un pays, affecte aussi la région de Beni.
Au cours de cette séance Jean Nick Dhembu, administrateur assistant à la protection au bureau du HCR Beni, a indiqué que parmi les causes de cette dernière, l’on cite la discrimination, l’émergence des nouveaux États, les lacunes des législations nationales en matière de nationalité et d’autres.
Il se réjouit du fait que ce cadre d’échange était une occasion pour son organisation «d’insister sur les action ou des éléments importants» pour prévenir les différents risque d’apatridie.
«Au niveau des institutions de l’État pour lesquelles le HCR, est entrain d’apporter son appui notamment en soutenant CTLA, qui a élaboré une feuille de route de lutte contre l’apatridie, avec Beaucoup d’action qui implique aussi bien les institutions de l’État en plusieurs niveaux. Cette question mérite également des actions individuelles notamment de famille pour ce qui concerne l’enregistrement des enfants a la naissance bien qu’il y a encore beaucoup d’efforts pour rendre le bureau d’État civil plus opérationnel,» dit-il à LaPrunelleRDC.info.
Roger Kambale, depuis Beni