Le député national, élu de Walungu dans le Sud-Kivu Amato Bayubasire poursuit sa tournée dans sa circonscription électorale dans le cadre de ses vacances parlementaires. Ce jeudi 13 février, ce cadre de l’Union pour la Nation Congolaise (UNC) s’est exprimé tour à tour à Bideka et Ibinza devant des milliers des habitants venus l’écouter.
Alors que des cadres de l’UNC accusent l’UDPS d’insulter l’actuel Directeur de Cabinet de Tshisekedi et président de l’UNC, Amato Bayubasire rappelle qu’ils ont l’obligation de travailler ensemble durant les 5 années de mandat pour relever le défi de la reconstruction du pays.
«Je voudrai dire que la réussite de l’UNC c’est la réussite de l’UDPS et la réussite de l’UDPS c’est la réussite de l’UNC. Pendant les 5 ans, le peuple nous a donné un mandat sous le FatshiVit qui veut dire Félix Tshisekedi et Vital Kamerhe. Nous avons l’obligation de travailler ensemble pour redonner l’espoir à notre population, reconstruire le pays et éradiquer la pauvreté pour qu’en 2023, nous puissions rentrer, rencontrer le peuple et solliciter un autre vote positif» répète Amato Bayubasire Mirindi à Bideka et à Ibinza.
Amato Bayubasire s’est également adressé aux alliés du Front Commun pour le Congo (FCC).
«Je voudrai aussi m’adresser aux amis du FCC députés, ministres comme cadres pour dire que le peuple nous observe. Sous le leadership du Président Félix Tshisekedi, l’ensemble du gouvernement, de l’Assemblée Nationale et du Sénat et toutes les institutions devons accompagner le Chef de l’Etat à accomplir sa vision de la reconstruction de notre pays et parce que j’espère, que nous nous battons tous pour le bien de notre population, il est temps que nous puissions mettre l’intelligence commune au service du peuple congolais en servant notre population» a-t-il appelé.
Ce député national UNC a rappelé l’apport de son président national aux côtés du président de la République. Un apport depuis la dernière campagne électorale qui a conduit Félix Tshisekedi à la tête de l’Etat.
Il a par ailleurs dénoncé des membres du gouvernement qui ont «torpillé » le programme des 100 jours en refusant de libérer des moyens.
Jean-Luc M.