Le monde entier célèbre chaque 11 mars de l’année, la journée mondiale des reins, à l’occasion, aucune manifestation n’a été organisé à Bukavu.
Laprunellerdc.info a pu rencontrer le docteur Masimango Manix, un spécialiste neurologue de l’hôpital provincial. Celui-ci appelle la population à s’interdire toute consommation des médicaments traditionnels ou encore de prendre des médicaments sans prescription médicale.
Selon ce spécialiste, les reins sont si importants pour la survie d’un être humain. D’où il faut à tout prix bien les protéger. Ceux-ci permettent à l’organisme de se débarrasser des déchets toxiques et quand les reins sont déjà malades, ils ne sont plus capable d’assurer leur rôle.
Docteur Masimango a aussi expliqué que la maladie des reins est liée à deux principales causes dont la prise des médicaments traditionnels et ou des médicaments sans prescription médicale mais aussi les maladies chroniques telles que le diabète, l’hypertension ou encore le VIH.
« Les reins sont deux petits organes qui permettent à l’organisme de se débarasser des déchets toxiques. Quand ils sont affectés, ils ne savent plus joués leur rôle. Les reins peuvent donc être affectés par deux choses à savoir, la consommation des médicaments toxiques, ou encore aux maladies chroniques comme me diabète, le Sida, ou l’hypertension » expliqye à Laprunellerdc.info.
Pour s’en prévenir, notre interlocuteur a alors exhorté les uns et les autres à éviter toute consommation des médicaments toxiques, et d’autres qu’on prend sans prescription médicale.
« Nous céclebrons cette journée sous le thème « vivre mieux avec les maladies des reins » . C’est une occasion pour nous d’interpeller encore une fois, les uns et les autres sur le danger que représente la maladie des reins. On a donc tout intérêt à les protéger. Nous ne pouvons les protéger qu’en évitant des médicaments en désordre et n’importe quel médicament? C’est particulièrement des médicaments traditionnels et d’autres médicaments sans prescription« , Poursuit-il.
Cependant, Masimango demande à ceux qui souffrent déjà de l’insuffisance rénale de toujours se fier à leur médecin et bien suivre les prescriptions leur données par celui-ci.
Noella Bahizire, stagiaire UOB