Réagissant à la correspondance du 12 Août 2020 de l’organisation SAJECEK Forces-Vives, des acteurs sociaux et politiques du quartier Cahi en commune de Bagira; s’insurgent contre le départ de leur chef de quartier Cimeshula Mukaruka; et son adjoint Satans Kaganda, accusés de mégestion.
Ils le font savoir à travers une correspondance adressée au bourgmestre de la commune de Bagira, et dont Laprunellerdc.info a reçu une copie.
D’après eux, ce n’est pas encore le moment, ni de cette façon, qu’il faut pour réclamer le départ de la classe dirigeante du quartier Cahi; malgré les différents problèmes de la gestion de ladite entité.
Selon cette lettre, même le signataire de la correspondance de SAJECEK, Mr Cubaka Bagalwa, n’a jamais été responsable de SAJECEK Forces-Vives/Cahi dont il se prévaut; montrant selon eux un signe d’usurpation du pouvoir.
« Nous membres des associations et couches sociales œuvrant dans le quartier Cahi; refusons avec la dernière énergie la position d’un certain Cubaka de vouloir créer une rébellion, un climat malsain et d’insécurité dans le quartier Chai; car il n’a délibérément que le seul plan de ruiner, détruire et insécuriser le quartier Cahi par ses acolytes. » déclarent-ils dans leur correspondance.
Selon ces derniers, cette lettre de SAJECEK Forces-Vives est une Simple provocation et sabotage à l’égard de la population de Chai; théâtre ce dernier temps d’une insécurité grandissante.
Même s’ils n’exposent pas les avancées réalisées par le chef de quartier qu’ils soutiennent; ces acteurs demandent au bourgmestre de ne pas considérer la correspondance de SAJECEK; afin de barrer la route à ceux qui veulent déstabiliser le quartier Cahi.
Rappelons que le 12 août dernier, SAJECEK-Forces Vives a demandé le remplacement du chef de quartier Cahi en commune de Bagira, Cimeshula Mugaruka et son adjoint, suite à la mégestion, spoliation et dégradation de la RN2, frein aux projets communautaires, etc.
Selon cette structure citoyenne, depuis leur installation, «ils ont instauré un mécanisme qui leur permettent de sombrer cette entité dans le sous-développement.»
Abdallah Mapenzi